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mots taboux pour le taboulet
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30 août 2008

Le premier jour du reste de ta vie.

Parce qu'après Ma vie en l'air.
Je crois que je vais fétichiser Remi Bezançon.
Oui, parce qu'après avoir ri, pleuré devant Ma vie en l'air, film dont je ne me lasse jamais, j'ai de nouveau ri, presque pas pleuré, et passé un excellent moment devant l'écran géant de Bercy, de Créteil. Oui, ce film c'est le genre de film dont on ne se lasse pas, parce qu'en fait, c'est un peu une tranche de vie, servie sur de la brioche, on ne s'en lassera jamais. Le titre accroche déjà, il me fait penser à ce fameux nom de livre Je veux que quelqu'un m'attende quelque part de Gavalda. Ce film c'est un petit bijou du cinéma français, une perle rare à regarder encore et encore. C'est, selon moi, le film de l'année, qui, je sais que je vais en faire mousser quelqu'un un, dépasse l'optimisme de Little Miss Sunshine. Bon ok, c'est un bon film, mais ce film là, dont je vous parle, il est "ouffisime". Parce que même s'il n'y a pas de véritable intrigue, ce film c'est la vie, une tartine de vie, réaliste et touchante. Ce film nous concerne tous j'ai l'impression. Alors après Ma vie en l'air, le premier jour du reste de ta vie va finir en DVD. Le genre de film catharsis a regardé un samedi soir seule, ou accompagnée, autour de MMs, de pop corn, de roses des sable, d'une cigarette, et d'un vin blanc grand cru. Un film comme un album photo, qu'on ouvre, et referme, qu'on ouvre..

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